Le Slack
Rédigé le 13 octobre 2016
L’outil de collaboration Slack, digne rejeton de MIRC et d’une licorne, a connu une percée phénoménale dans les entreprises lors des deux dernières années. S’il existe un engouement réel pour la plateforme (le nombre d’utilisateurs a explosé, comme on peut le voir sur le graphique ci-bas), nous n’y faisons pas exception, nous l’utilisons à l’interne et le recommandons chaudement.
C’est pour cette raison que nous avons décidé d’améliorer nos moyens de communication en ouvrant des #channel pour nos clients qui sont sur la plateforme. Pour ceux qui ne le sont pas déjà, voici quelques raisons pourquoi vous devriez envisager de l’essayer :
Parce que l’information coule. Selon un sondage publié par Slack (une source indépendante), les employés des compagnies qui ont migré vers Slack disent que l’outil a amené une réduction de 48.6% dans les courriels internes, une diminution des rencontres de 24% et une augmentation de la productivité de 32.4%, en plus d’augmenter la transparence et la culture d’entreprise.
Pour l’avoir utilisé pendant plusieurs mois, après Google Hangout, Yammer, les courriels, nous pouvons corroborer, sans pouvoir valider les statistiques avancées par la compagnie, qu’il y a de véritables gains.
Ça commence gratuitement. La version gratuite ne donne pas l’impression d’un produit incomplet. Pas de coût à l’entrée, on peut voir immédiatement les gains sans avoir à débourser. À ce prix-là, on en prend un pour toute la famille et nos amis.
Pour les bots. C’est un truisme depuis un siècle, l’avenir est aux robots. Je vous le répète ici. Les robots sur Slack sont simples, efficaces, et sont les précurseurs de ce qui s’en vient sur Facebook Messenger, Kik, et autres applications sur lesquelles vous allez avoir des conversations de plus en plus complexes. Ils vont de Léo, le bot de la Montréalaise Officevibe qui vous pose régulièrement des questions sur votre satisfaction au travail à Growbot, qui communique les victoires quotidiennes avec l’ensemble des employés.
C’est si peu complexe que j’ai moi-même participé à la création d’un bot pour la plateforme, lors du Slackathon organisé par GSOFT. Même si j’y étais uniquement pour profiter du buffet, j’ai été réquisitionné pour participer à la création de l’illustre Quoty, qui sombrera dans l’oubli comme la plupart des applications du Slack store. « Quoty, it’s like Giphy… but for quotes. »
Dans tous les cas, nous vous invitons à entrer en contact avec nous pour ouvrir vos #channel.