Hockey, hotkeys et hochet – Entrevue avec Simon
Rédigé le 6 août 2019
Simon a d’abord voulu postuler pour un poste chez GSoft, et non Le Chiffre. C’est à ce moment qu’il rencontre Jean Gabriel, alors CFO de GSoft. Leur discussion tourne autour de hockey et d’anecdotes de vie. Une heure passe et l’entretien ressemble certes plus à un moment entre deux amis qu’à une entrevue formelle.
Thomas-Louis m’a contacté pour la 2e entrevue et c’est là que les questions de comptabilité sont sorties. À ce jour, je crois que mon test technique est l’un des pires de l’histoire du Chiffre.
Avec peu d’expérience sur le marché du travail, Simon commençait à douter de la véracité de ses réponses, voir même de la pertinence de sa présence. Les deux fondateurs lui offrent tout de même son premier emploi dans le domaine. Ils voyaient en Simon un candidat aux qualités extracurriculaires qui allaient leur apporter plus qu’une simple expertise comptable. Ils avaient vu juste. En employé dévoué, Simon prend aujourd’hui la responsabilité de plusieurs clients et du club social.
Mes collègues carburent aux défis et chacun à une histoire qui mérite d’être mise en valeur.
Plusieurs sportifs occupent des postes chez Le Chiffre. C’est peut-être ce qui alimente la mentalité de go getter qui règne au bureau, mais aussi l’implication dans la vie sociale. D’ailleurs, le taux de participation dépasse les 90% lors des activités sociales mensuelles.
Lui-même ancien joueur professionnel de la ligue de hockey junior majeur, l’esprit d’équipe et la philosophie du dépassement de soi lui tiennent à cœur. Il transpose maintenant ses valeurs à un nouveau défi : fonder une famille.
La flexibilité est rendue primordiale dans le choix d’employeur, surtout chez la nouvelle génération d’employés. Si à l’embauche il pouvait partir plus tôt les vendredis de matchs à l’extérieur de Montréal, Simon peut maintenant faire des allers-retours à la maison pour prendre le relais avec sa fille de 4 mois.
J’habite à quelques minutes de marche du Nordelec. J’étais donc toujours disponible si ma conjointe avait besoin d’une petite heure de repos.
Puisque quelques complications à la naissance ont restreint Charlie à l’hôpital, Simon a pu prolonger son congé de paternité d’une semaine. Bien que les premiers mois soient fatigants, Simon est aujourd’hui nourri d’une nouvelle motivation.
On bénéficie d’horaire flexible, donc on se donne à fond lorsque nous sommes au boulot. C’est donnant-donnant.
Dans la dernière année, sept personnes chez Le Chiffre ont annoncé l’arrivée d’un enfant. Simon croit qu’il y a quelque chose dans l’eau de Pointe-Saint-Charles qui causerait ce petit baby-boom au bureau. Quant à lui, il planifie un premier voyage de 3 semaines en famille au Portugal et en Espagne.